Eglise de Romo

ça donne une idée, mais c'est petit...je vous fait la"traduction" lol:

Cette église collégiale, dédiée à Notre-Dame, fut probablement fondée au XIIième siécle. Au siécle suivant on assiste à la création de la paroisse de Romorantin démembrée de celle de Lanthenay. La collégiale devient alors une église paroissiale sous le patronage de Saint Etienne. De l'église primitive, il ne subsite que les 4 piliers du carré du transept et la partie basse du clocher. Ala fin du XIIième siécle, le choeur est transformé et l'on construit la nef dépourvuede bas-côtés. Saccagée pendant la "guerre de cent ans"(Par le Prince Noir, Edouard de Galles), elle est restaurée vers 1454 par Jean d'Angoulême, l'aïeul de François Ier. Un portail est ouvert au nord tandis que la nef s'élargit de deux travées. Dévastée pendnat les guerres de religion, de nouvelles restaurations sont exécutées au XVIIième siécle. Un déambulatoire et plusieurs chapelles sont bâties autour du choeur. En 1632, on surmonte le clocher d'un beffroi. Le porche de l'église, appelé "caquetoir", a été supprimé pendant la révolution. Enfin, une dernière campagne de travaux effectués de 1863 à 1866 donnent à l'église son aspect exterieur final. On accéde à l'orgue, dont la partie instrumentale fut réalisée par la célèbre maison "Merklin et Cie" par un remarquable escalier du XVIIième siécle.

caquetoirs: galeries couvertes, en bois ou en pierre, à l'entrée de l'église. lieux de rencontres et de discussions après la messe.

pour Merklin, le facteur d'orgue voir le site.

FACTEUR D'ORGUES

on va continuer avec de nouvelles photos de l'extérieur, puis de l'intérieur de cette église.

 

 

encore

des

visages

à

l'expression

bizarre.

 

 

 

 

ça joue

du

pipeau.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

drôle

de

binettes,

n'est-il

pas ?

 

 

 

 

 

 

 

et ça

continue.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

l'avant

des frises

bien usées.

 

 

 

 

 

 

de

l'autre

côté.

 

 

 

 

 

 

 

 

une

entrée

oùune

sortie,

c'est

selon.

 

 

 

 

 

 

 

 

bon

allons

voir

à

l'intérieur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

le style

des

têtes

est

le

même.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

c'est

haut.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

c'est

un peu

sombre.

 

 

 

 

tiens

une date

1613,

henri IV

vient

d'être

assassiné.

 

 

 

 

 

 

 

 

y'a de

la

couleur

dans

ce coin

là.

 

 

 

Quelques textes à décripter.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

c'est

assez

défraichie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

toujours

aussi

sombre.

 

 

 

 

 

 

 

 

euh,

le systéme

de chauffage

n'est pas

d'époque.

 

 

 

 

 

 

 

l'escalier

qui

méne

droit

au parad...

non,

à l'orgue.

 

 

 

 

je vous

emméne

voir

une

porte

qui

devait

donner

sur un cimetière.

 

    Pierre François Debegues (1764-1833), officier des armées républicaines, chef de la garde nationale de Romorantin, officier de la légion d'honneur er franc-maçon, a crée en 1830, sur la commune de Lanthenay, prés des étangs, ce lieu " destiné à inhumer tous ceux auxquels on refuserait une sépulture chrétienne". Les symboles francs-maçons sont présents dans l'inscription et les éléments décoratifs du portail. Selon la légende, Pierre François Debegues a été enseveli dans cet enclos avec son valet, son chien et son cheval. Certains auteurs accréditent la présence du chien et du cheval. Mais, malgré une demande faite en 1935 à la municipalité de l'époque, il repose seul dans ce lieu qui témoigne de son humanisme et de sa foi dans les idées de la révolution Française. L'enclos appartient  à la ville de Romorantin-Lanthenay.

 

DEBEGUES (Pierre François) , naquit le 19 février 1764 à Romorantin. Soldat le 8 avril 1782 dans le régiment de cavalerie Mestre de camp, et brigadier le 15 juin 1787, il fut congédié le 8 avril 1790. Il servit la même année dans la gendarmerie de sa ville natale, et le 17 septembre 1792 il fut élu par ses concitoyens chef du 3ième bataillon de volontaires de son département. Il fit les campagnes de 1792 à l'an VIII aux armées des côtes de Brest et de l'Ouest, celle de l'an IX en Italie, et reçut le 5 nivose, au passage du Mincio, un coup de feu à la jambe droite parsuite duquel il resta privé de l'usage de ce membre. Employé à la suite de son bataillon durant les ans X et XI en Italie, il eut le 4 vendémiaire an XII le genou droit fracassé et dut subir l'amputation de la cuisse. Nommé membre de la légion d'honneur le 25 prairial suivant, et admis à la retraite le 6 frimaire an XIII, il se retira à Romorantin, où il mourut le 1er août 1833.

 

Quelques photos de la créche de Noël.

 

y sont

pas

trés

nombreux..

va falloir

y retourner

aprés Noël.

 

 

 

 

 

bon peut-être d'autres bientôt.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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