Histoire

Un livre trouvé sur Gallica: deux fichiers car trop volumineux

Vierzon    Vierzon suite

Ancienne station préhistorique à Bellon, avec atelier de taille du silex, notre cité fut probablement une des vingt villes détruites par Vercingétorix lors du siège d’Avaricum par César. Après la conquête, elle fut probablement un oppidum Gallo-romain, point de défense à l’entrée ouest du Berry, établi sur une butte, exposé au midi, surveillant le confluent de l’Yèvre et du Cher et protégé par la forêt et la Sologne au nord. Un château mérovingien s’y installa, puis les Normands s’y fortifièrent sur la motte féodale. Ils devinrent seigneurs de Vierzon et la ville se développa à l’intérieur de remparts à l’Ouest du château. Les Anglais (Richard Cœur de Lion en 1196, puis le Prince noir) incendièrent et prirent la ville et le château. Du Guesclin en chassa les Anglais en 1370 et redonna Vierzon à la couronne de France. Elle devint alors un des centres de ravitaillement des armées de Jeanne d’Arc.

Vierzon subit les guerres de religion, mais resta catholique. La révolution de 1789 n’apporta pas de grandes secousses, mais Vierzon paya ensuite largement son tribut aux guerres modernes. En 1870-71, l’avant-garde des Ulhans traversa la ville mais se replia rapidement. Si Vierzon fut épargnée par la guerre de 1914-18, elle fut durement éprouvée par celle de 1939-45. La ligne de démarcation coupait la ville en deux et à ce titre de violents bombardements détruisirent le septième de la ville, qui, une fois de plus se releva de ses ruines.

Jusqu’en 1779 Vierzon vivait du commerce et de l’artisanat, puis vint le temps de l’industrialisation.

Travail du fer : un savoir-faire Berrichon Le travail du fer marque le début de l’industrialisation de Vierzon. En 1779, le Comte d’Artois, futur Charles X, crée en bordure de l’Yèvre une forge avec fonderie et hauts fourneaux. Elle bénéficie du savoir-faire sidérurgique ancien du Berry et du minerai acheminé par le Cher et le Canal de Berry (1830).

La présence d’argile réfractaire favorise la naissance d’une activité porcelainière à partir de 1816.

La tradition des arts du feu se perpétue avec la création de deux verreries en 1860 et 1874, qui existeront jusqu’en 1957.

Le machinisme agricole : la spécialité vierzonnaise

C’est en 1847 que Célestin Gérard arrive à Vierzon. Son petit atelier en face de la gare deviendra la « Société Française de Matériel Agricole et Industriel ». Une synergie se met en place ; la réputation de la « Française » attire les capitaines d’industrie. Au début du XXème siècle, la capitale du machinisme agricole compte plusieurs firmes de batteuses et de locomobiles dont Brouhot, Merlin, La Vierzonnaise et la Française. Ces machines se vendent partout dans le monde. En 1959, la société américaine CASE rachète la S.F.M.A.I. et la production de matériel de travaux publics remplace progressivement celle du matériel agricole.

Trois villes satellites se développèrent autour du centre ville et, en 1937, la fusion des quatre communes permit à Vierzon de prendre un nouvel essor.

 

provient du site de Vierzon:

histoire de Vierzon

autre site:

vieilles photos de Vierzon

un bon site sur le martyr de celle qui deviendra la patronne de Vierzon: Sainte Perpétue.

Sainte Perpétue et Félicité

 

extraits de différents livres(voir source):

"Prés la ville de Vierzon y a un bois tailliz et fort buisson appellé le bois d'Eure, ayant de longueur unne lieue françoise, et au plus large, demye bonne lieue, auquel bois y a grand nombre de beste rousses et noires qui y sont soigneusement gardées par le Seigneur de la Loue, garde héréditaire dudict bois, lequel est du midy, faisant unne isle entre les rivières d'Eure et du Cher. Du costé de septentrion tirant à la souloigne, y a un aultre bois de haulte fustaye, distant de Vierzon demye lieue, lequel de midy au septentrion a de traverse une bonne lieue, et de longueur de l'orient à l'occident, unne lieue et demy; et sont lesditz deux bois de la seigneurie et domaine dudict Vierzon."...

..."le Cher passe à Vierzon, auquel lieu il croit la rivière d'Eure, et là tous deux ensemble portent bons batteaux, puis entre le pont de Sauldre et Selles en Berry, se fortiffie encore de la Sauldre qui se vient rendre dans ledict Cher...ce fleuve abonde en toutes sortes de bon poisson et singulièrement en grandz brochets, barbeaux, vandoises et carpes, et au dessus de Montluçon, entre les lieux caverneux, s'y prennent de trés bonnes et grandes truictes."...

..." Vierzon, est une ville en la Gaule aquitaine, en la province des Berruyers, grandement louée par Caesar au XIIième de ses commentaire, chapitre 7, des batailles des Gaules, et par lui nommée Avaricum, laquelle prinse et gastée par les Romains, par les Anglois, et aultres guerres advenues en France, a changé de nom, et l'a on quelquesfois appellée Versio, ou bien Eversio, par ce que plusieurs fois elle a esté destruicte, ruinée et mise en cendres, de manière que l'ancienne situation est en partie transmuée en Vierzon, laquelle estant assise oultre le fleuve de Loyre, sur les confins de Berry, n'est esloignée de la ville d'Orléans, que Caesar nomme Genabum. Vierzon est close et environnée de haultes murailles de 18 couldées au plus bas lieu, circuys de xxij tours fortes et anciennes, dont y en a deux fort grosses et par exprés, une construicte au cimet d'une petite montagne, par laquelle on descouvre le plat pais d'une grande lieue au tour. Au dessoubz de laquelle y a une contremire, par laquelle on peult faire saillir hors de la ville, qui prend son origine à la caue du viel chastel, et qui se poursuit directement, ains par voyes tortues et obliques, l'ont appellée la cave aux fées. Au bas du contand et vallon flue la rivière d'Eure, au fond de laquelle sont encore recognues grosses masures, come arc d'un pont rompuz, par laquelle on passoit en la forest prochaine, qui est encores de présent bien plantée de bois et abondante en bestes saulvages pour le plaisirs de la chasse. Du cousté de la Bize, la ville tenoit anciennement d'estendue, oultre ce qui est à présent ceinct de murailles, plus de 600 pas, et en ces endroicts se trouvent mazures et murailles de grandes largeur, et plusieurs fondemens de tours. Le long d(iceux se voyent apparence de fossez fort long demonstrants presque la ceincture de l'ancienne ville: au dedans desquels fossez sortent eaues de fontaines. Et à l'occident, au pied de la grosse tour tirant sur le septentrion, estoyent aultres fossez eslevez de grande longueur et largeur, lesquels eslever en façon de chaussée récepuoyent les eaues des fontaines et des ruisseaux qui descoulent des contands en temps pluvieux, en manière que lesdictes eaues ainsi soustenues représentoyent la forme des marais. Despui lecdits fossez remplis, la plus grande partie de la ville y est bastie, comme aussy l'église de nostre Dame, laquelle retenant la nomination du lieu, est appellée Nostre Dame des Fossez. Du costé de Bize y a une forest d'assez grande étendue, distraicte de la ville, non guerres plus que de mille pas. Deuers l'occident sont construicts deux ponts de pierre, sur les rivières d'Eure et Cher, lesquels fleuves rendent auy habitants abondance de bons poissons; mais d'aultant que souvent ils sortent de leurs fonds et limites, ils inondent et gastent beaucoup du plat pays. L'assiette du lieu est belle et plaisante. L'air y est bon et tempéré. Là est le siége royal pour la justice, mais de petit resort pour la dignitéet honneur que mérite la ville et le lieu; laquelle justice est à présent administrée par Claude le Bégue, lieutenant, et au paravant prevost, et par Maistre toussainctz Sogot; procureur du Roy, et n'y a qu'un seul degré et jurisdiction, d'aultant que l'estat de prevost a esté uny par mort avec celuy de lieutenant. il se treuve, par anciens registres, la ville de Vierzon avoir esté presque toute brulée en l'an 1067, et en l'an 1197, au temps que les Anglois (anciens ennemys des françoys), estoyent espars par la France, leur armée parvenue au pays de Berry, assiégèrent, par troys divers endroicts, ladicte ville, et après avoir faictz miner au dessoubs des tours, faictz bastillons de touttes sortes, et sappé grande partie de la muraille, entrant par deux divers endroictz en la ville, fut par eux prinse, pillée et ruinée, dont ne fault esmerveiller, si, de présent, elle ne représente l'ancienne forme d'Avaricum descripte par Jules Caesar, lequel nom ne se peult attribuer à la ville de Bourges, pour les raisons cy après declarées".

 "RAISON ALLEGUEES PAR F.MICHEL(ou François) DE CHEVRIER, CHAMBRIER AU MONASTERE DE VIERZON, POUR PROUVER QUE VIERZON EST AVARICUM ET NON BOURGES.

Si, aulcun, diligent et curieux des antiquités, confére nostre description de Vierzon rapporté au plus prés de l'ancienne situation , ainsy que l'on peut voir par les vestiges que nous avons cogneues, il cognoistra Avaricum avoit esté située au lieu ou est encore à présent  partie de la ville de Vierzon, d'autant que la description de Caesar y convient grandement; et ce voyent encore une grosse tour, le promontoire ou montaigne et vallon, lequel, du costé septentrional, est profond de levées et rempars qui servoyent de défense à Vercingetorix, duc des Françoys, auquel lieu, ayant du costé de ladicte tour et montaigne, après avoir faict retirer son bagaige de guerrre en la forest (laquelle est en son entier), rompu le pont qui est au bas de la montaigne ou promontoire, s'asseurant de la forteresse du lieu, tenoist au dedans du vallon (environné du fossé et de la rivière d'Eure) sa cavallerie.-Et quandà l'estendue de la ceincture de la ville, murailles, fossez et maraiz, selon que nous l'avons escript, il y a grande apparence estre l'assiette d'Avaricum, comme le demonstrent les vestiges tesmoings de la vérité. A ce fault adioucter que Vierzon est assis aux fins des limites de la dition et province du Berry, non plus distant de la juridiction de Bloys qu'une lieue et demye, tant seullement Vierzon est près d'Orléans (par Caesar Genabum) seize lieues. Au contraire, Bourges tient presque le milieu de sa province, et jette ses bornes et estendues de touts costez à plus de vingt lieues :aussy, est distant d'Orléans ou Genabum, de vingt et deux lieues. Aultre raison est que Bourges n'a onques estre assiégée par Caesar, et n'en faict aulcune mention; ains a mis par escript, que si tost que les habitants de Bourges, aultrement de la cité des Berruyers, eurent nouvelles que Vercingétorix, duc des Françoys, amenoyt son armée au pays de Berry, et avant que Avaricum fut assiégée, ceux de Bourges envoyèrent ambassadeurs à ceux d'Autun qui cestoyent soubmis à Caesar, pour leur demander (dict Caesar) secours contre les ennemys; à la requête desquels, du conseil et advis des lieutenants de Caesar envoyèrent aux citoyens de Bourges, gens de cheval et de pied, pour y estre en garnisonet défence de la ville. Et jacoit que les citoyens de Bourges prinsent à mépris, et eussent refusé le secours envoyé d'Autun, et se fussent alliez et unis avec les auvergnats; toutes fois (dict Caesar) Vercingétorix ne tint onques pour asseuré leur fidélité.-Qui démonstre que Vercingétorix qui doubtait de la fidélité des habitants de Bourges, n'a oncques prns leur défence, ausquels il ne se fioist, dict Caesar, de son salut. Davantage, Caesar après réduict en sa puissance la ville de Nevers, délibéra d'assiéger et prendre Avaricum, s'asseurant comme il dict, que après avoir prins Avaricum plus facilement, il prendrait la cité des Berruyers qui est Bourges, d'aultant que Avaricum importait grandement à Bourges, et en estoit la défence; auquel lieu Caesar appelle la cité de Bourges et la province des Berruyers d'un mesme nom. Et n'est vraysemblable qu'il eust teu le nom de la cité de Bourges, si un aultre y en eust eue. Par ce que Tite-live, au 5ième liure de ses décades, dict la ville et cité de Bourges avoir tenu sus les Gaulois la souveraineté de l'empire et gouvernement. Aussy n'eust passé soubs silence le nom d'une telle ville. Voilà les raisons qu'allégue ledict F.Michel de Chevrier, pour prouver que Vierzon est Avaricum et non Bourges."

monastaire de vierzon et aultre temples.

Charles Auguste tenant l'empire et le gouvernement sur les Françoys, l"an de Jésus-Christ 843, Rodolphe, XLVIIème archeuesque de Bourges, feist construire au lieu appelé Domire, un Monastaire prés la rivière du Cher, distant une grand'lieue de Vierzon, auquel il establist religieux, selon l'ordre de St Benoist, pour y mener vie contemplative et annuncer continuellement les louanges divines. Ambramius, noble chevallier, dote le monastaire de quelques héritages et revenu, ce qui est confirmé à Aix-la-Chapelle en Allemagne(appellée des latins Aquisgranum), par le roy Charles le Chaulue et la Royne Judith, de leurs seings et seelz. Et comme iceluy monastaire, depuis fut destruict par les guerres et ruiné de fond en comble, les religieux s'en allèrent habiter en la ville de Vierzon et obtindrent licence du comte Thibault de Chartres, s dudict Vierzon, d'y construire un monastaire, à la poursuitte et diligence de Germitius, Archeuesque de Bourges, qui fut en l'an de salut 902, le 9ème jour des calendes de décembre, du temps du régne de Rodolphe, lequel Charles le Simple, Roy de France, permet tenir lieu du Roy, ou bien, ainsi qu'aucuns dient, estant donné par tuteur au Roy Charles, administrayt les affaires du royaulme.

Le Monastère assiz en la ville de Vierzon est situé vers l'occident, le long des murailles de la ville, en lieu assez beau et plaisont, ceint et environné de murailles de toutes pars. Il est de peu de revenu, comme de sept à huit cent livres par an. Au dedans d'iceluy monastaire y a un temple spatieux et de belle structure. Il est décoré des corps et reliques de St Opte, Euesque, lequel a escrit six liures contre les hérétiques Donatistes, et des ossements de S.Félice et Perpete, martirs, transférez en la France du temps de la persécution de l'Afrique soubz les Vandales, des reliques de S.Blaise, euesque de Cappadoce, de St Foy et de St Crepaix, du pays d'Agenois en Guienne. Iceluy monastaire, estant tumbé en ruyne, a esté naguéres restauré de nouueaux et sumptueux édifices trés convenables, d'ouurage et facond tres belle, par scientifique et réuérende personne Me François de Combaret, à présent abbé dudict monastere, trés regnommé par la noblesse de ses ancestres et par ses propres vertus. Oultre ledict monastére et l'église Nostre Dame, sonr édifiez au dedans de ladicte, deux chapelles du nom de St Paul et St Jehan. Sur le pont d'Eure est l'hospital de la ville et du cousté de la bize, hors les murailles, y a vn lieu et oratoire pour les lépreux; et prés les fossez est la chappelle St Martin. Vers le septentrion, hors la ville, un grand cimitiere, au milieu duquel y a vn oratoire. Et en oultre dans la forest prochaine de la ville, assize entre les riuères d'Eure et le Cher, enuiron le milieu d'icelle, y a vn autre petit oratoire ou chappelle du nom de Marie Magdalene. En la ville de Vierzon y a vne paroisse tant seulement intitulée la paroisse Nostre Dame. Le terrain d'autour de ladicte ville est areneux, assez  propre aux jardinages, et à produire seigles, marseiches et auoines, mais peu de froment. Il y a peu de vignes, mais ilz sont prés des meilleurs vignobles du pais qui est la Fretay, Reully et aultres. La principalle trafique et négotiation de la uille est le l'anifice, drapperie, et aultres marchandises pour la déliurance desquelles y a marché franc, toutes les sepmaines, le sabmedy, et plusieurs foyres qui se tiennent en ce lieu le iour St Blaise, le Vème mardy de caresme, le mardy après la pentecoste, le jour St Paul et toutes les festes St Pierre.

 

des seigneurs de Vierzon.

La ville de Vierzon a eu plusieurs seigneurs auant que la seigneurie et propre domaine d'icelle soyt tombée en regalle. Le premier que nous auons pu scauoir a esté Thibault, comte de chartres et seigneur de Vierzon, qui mourut l'an de Jésus-Christ 1142, auquel succéda Arnulphe, qui donna sa fille en mariage à Hernes, seigneur de Menestou de la Ferté-Ymbault, Bomyers et aultres belles places en Berry. Lequel Herne, en l'an 1164, alla en Jérusalem avec l'armée de France, et print vne table d'argent qui estoit en l'abbaye, de laquelle il feit monnoye; et en recompance baille quelques dixmes. Audict Herne succéda Guillaume , lequel tint la domination de la ville et accreu en biens tant du costé paternel que de sa mère, fut surnommé le riche, soubz le nom duquel fut forgé monnoye d'argent, en laquelle estoit engrauée vne teste d'homme à découvert, ayant en escript au rond: GVILLERMVS VIRSIONIS DOMINVS, de laquelle monnoye s'en treuve quelques piéces entre les mains du sus-nommé lieutenant de Vierzon, Me Claude le Bégue, homme docte en toute doctrine et studieux d'antiquitez. En l'an 1197, le chasteau de Vierzon fut prins et ruiné par les Angloys, et ledict Guillaume le riche occis; auquel succéda vn aultre nommé Herne, et après luy succéda Guillaume, second du nom.

En l'an 1332, régnant Philippe de Valoys, estoyt seigneur de Vierzon et de Mehun, Robert d'Artois, lequel pour s'estre révolté contre le Roy, son souuerain sr, pour prendre le party d'Edouard, roy des Anglois, furent ses biens confisquez au roy, et entre aultres les villes de Vierzon et de Mehun. Et d'aultant  qu'elles furent longtemps querellées par ceux de al maison de Bourbon et le comte d'Alençon. Finalement, enuiron l'an 1480, la ville de Vierzon fut donnée en appanage, auec le pays de Beaujolois et aultres pays, à madame Anne de France, fille du roy Loys II, femme de Pierre, duc de Bourbon, qui eurent Jeanne de Bourbon, depuis mariée à Charles de Montpensier, dernier duc de Bourbon, laquelle Jeanne estant décédée sans hoirs, ladicte ville de Vierzon retourna au roy Françoys, primier du nom, qui la réunist à la couronne, et y establist siége royal et baillage, qui ne consiste seullement qu'en la paroisse de la ville,  et à celle de Mery sur Cher. Voilà tout ce que nous auons peu recouurer et ramasser de l'antiquité de Vierzon.

 

Extrait de "mémoires de la société Historique..." Edition 1868-1945.

  "Vierzon, en latin Eversio, pour avoir été souvent ruiné et incendié, se trouve à proximité de forêts et des fleuves du Cher et de Yèvre. Il possèdent un bon château sur une colline. Les paroisses de Méry et de Thénioux en dépendent. Il a un bon commerce de laines et de draps.

Vous devez être connecté pour poster un commentaire