Histoire

on va pouvoir parler ici de ce cher Porthos, mais ausi de l'écrivain Hubert Fillay né le 10 septembre 1879 et décédé à Blois le 26 février 1945.

Bracieux: Braceoli: prieuré de Pontlevoy, dont l'église est mentionnée dans la bulle de Lucius II (1144). (statistique religieuse, par Dupré, 63).

Bracieux depuis l'antiquité s'est positionné comme village d'accueil et de commerce. Il se situe sur le ruisseau de Bonneheure, prés son confluent avec le Beuvron.

Situé sur une voie romaine (ancienne route de Toulouse, Issoudun, Blois) ainsi que sur le chemin des boeufs qui montent de Poitiers jusqu'à Paris. Au 16ème siécle, le commerce y était florissant avec de nombreux marchés dont certains noms de rue en témoignent.

Le porcelet est un des meilleurs produits; toutes les fermes de la région du marché de Bracieux en font un élevage très important, et généralement très rémunérateur.

blason/

Fichier:Blason bracieux41.svg

 

 

Bracieux, commune de 295 ha, vivait de sa position géographique privilégiée, au carrefour de voies importantes. Considérée comme un centre commercial, elle s'est de tout temps inquiétée de la qualité des voies qui la desservent, comme en temoigne la lecture des registres municipaux. ce qui était vrai hier, l'est toujours aujourd'hui.

1870: le conseil municipal prend position pour être un arrêt sur la ligne de Blois/Romorantin.

1872: il confirme son interêt en délibérant sur le tracé de la ligne reliant Saint Calais à Romorantin par Vendôme, Blois et...Bracieux!

1884: projet de ligne de tramway à vapeur, reliant Blois à Lamotte-Beuvron.

la gare de Bracieux, tout comme la ligne de tramway est fermée depuis 1934.

quelques extraits de livres, textes divers ayants un rapport avec ce village...que je mettrais en ordre plus tard.

"vingt ans aprés" Dumas: (...) "Grâce aux informations prises auprés d'Aramis, d'Artagnan qui savait déjà que Porthos, de son nom de famille, s'appelait du Vallon, avait appris que, de son nom de terre, il s'appelait de Bracieux, et qu'à cause de cette terre de Bracieux, il était en procés avec l'évêque de Noyon. (...). La terre de Bracieux était à quelques lieues de Villers Cotterets. (?!!)(ne serait-ce point le Bracieux de Sologne dont nous parlons !!)(...) il apprit que la terre de Bracieux était située à quatre lieues de cette ville, mais que ce n'était point là qu'il fallait chercher Porthos.(cette ville, je pense à Villers cotterêts)(...).Porthos s'appelait maintenant du Vallon de Bracieux de Pierrefond, et demeurait dans sa nouvelle propriété.(...) cependant, dés le lendemain, Mousqueton fut un peu réconforté par d'Artagnan, qui lui annonça que probablement la guerre se ferait toujours au coeur de Paris et à la portée du château du Vallon, qui était prés de Corbeil; de Bracieux, qui était prés de Melun, et de Pierrefonds, qui était entre Compiégne et Villers-Cotterêts.(...)-Eh bien! Monseigneur, mon ami a trois terres magnifiques: celle du Vallon, à Corbeil; celle de Bracieux, dans le Soissonnais, et celle de Pierrefonds dans le Valois.(...)(oups)".

site interessant:

PORTHOS

ce texte met en doute le fait que Porthos ai pu vivre à Bracieux en Sologne....géoportail, cassini au secours. les données sont assez confuses. Noyon est au Nord de Soissons et de Compiégne. si Porthos a un différent au sujet des terres de Bracieux avec l'évêque de Noyon, c'est que ces terres  sont proches de Noyon. on nous dit aprés que ces terres se situent à 4 lieues de Villers Cotterêt, soit environs 16 km. (la lieue varie selon les régions de 3.248 km à plus de 4.8km). Plus loin on nous parle de Bracieux prés de Melun !!! et ensuite de Bracieux dans le Soissonnais!, c'est à y perdre pieds. et Pierrefonds dans le Valois alors qu'on le voit trés bien entre Villers Cotterêt et Compiégne.

d'un autre côté, on dit que Alexandre Dumas se serait inspiré d'un gentilhomme de Bracieux pour son personnage de Porthos...ce Porthos se serait appelé Issac de Portau, né dans le Béarn et serait aussi rentré dans les mousquetaires du roi. Dumas c'est servi de plusieurs personnages pour en créer un.  

le testament de Porthos dans "le Comte de Bragelone" ne nous apporte pas plus de renseignement. c'est la description de ses biens, mais la localisation !!!.

 autres: GYP a écrit deux livres où Bracieux apparait. Mais qui est GYP ? c'est Sibylle Aimée Marie Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, comtesse de Martel, romancière née en 1849 et décédée en 1932. c'est la dernière des Mirabeau. on lui reprocha souvent de ne pas être un garçon...pour continuer la lignée. Elle publia environ 120 romans, mais ses positions politiques et antisémites la firent oubliées assez vite. elle parle de Bracieux dans "BIJOU" et "LA PETITE PINTADE BLEUE". à suivre

      "LA PRINCESSE DE BELLADONE" A.Matthey (Arthur Arnould) écrit en 1886...on y parle du train, du village, des châteaux et, même si c'est un roman, l'auteur a du se baser sur certains faits où lieux réels...là aussi à suivre.

      "LE REGIMENT" de Jules Mary 1890...encore de la lecture pour bibi.

      "GENEALOGIE DE LA MAISON  FOURNIER" Xavier de Bellevue 1909... à compulser, pour complément d'enquête.

 

Extrait de "Mémoires de la société archéologique d'Eure et Loir." Edition 1858-1965.

Jeanne de Chatillon: mariée à Pierre de France, puis veuve en 1283: "Les habitants des paroisses situées dans le voisinage des forêts de Blois, de Boulogne et de Russy durent à sa bienveillance un privilège mémorable. Ces malheureux villageois ne pouvaient, même pour se défendre, tuer les bêles sauvages qui venaient les attaquer ou ravager leurs récoltes ; la bonne comtesse fit cesser un état de choses aussi préjudiciable à l'agriculture que contraire à la sûreté des personnes ' : la charte, octroyée à cet effet, en 1288, renfermait les clauses suivantes : 
  Les gens de la banlieue de Blois, de Candé, Chailles, Seur, Cellettes, Saint-Gervais, Vineuil, Mont, Huisseau, Tour, Bracieux, Neuvy, Thoury, Dhuison, Chambon, Saint-Secondin, Saint-Sulpice, tous.ceux aussi qui auront des propriétés dans les dites paroisses, soit nobles, soit roturiers, pourront, en dehors des forêts et des terres de notre domaine qui les joignent immédiatement, chasser, jour et nuit, même avec chiens, toutes sortes d'oiseaux et de bâtes,grosses ou  grêles, telles que cerfs, biches, porcs, laies, chevreuils, daims, connins (lapins), lièvres, etc Ils pourront également prendre ces oiseaux et bêtes, avec quelque manière d'engins qu'ils voudront ."

 

Extrait de " Détail historique de la ville d'Orléans...." Par Jousse Daniel. Edition de 1752:

                       "Rapport des mesures de grains des principaux endroits de l'Orleannois;

Bracieux. Le boisseau de seigle pése 14 livr. & il y a 6 Boisseaux à la mine.....

Foires principales....

Bracieux: le Mercredi avant la pentecôte & le 11 octobre."

 

Extrait de "Oeuvres complétes d'Etienne de Jouy" par Jouy Etienne. Edition 1823.

  " Celui d'Herbault, situé dans le canton de Bracieux, fut construit, me dit mon cicérone, par François de Foyal, maître d'hôtel de François 1er. En 1600, il devint l'apanage de la famille Phélippeaux. On y admire une chapelle élégante d'ordre dorique."

François de Foyal: Famille noble et ancienne de l'Orléanois. la descendance commence avec I. Guyot de Foyal, fils de Jean, baron d'Ivry, prés d'Anet et de Notre Dame d'Herbault, en Sologne... François de Foyal....ayeul d'Annibal de Foyal, dernier seigneur d'Herbault, mort sans alliance, en 1591."

"En 1582, Henri III céda à François de Foyal, seigneur d'Herbault en Sologne, la justice de Bracieux."

Phélippeaux: ce serait un certain Raimond Phélypeaux qui serait le premier seigneur d'Herbault (1560-1629).Aurait aquit le château en 1591. il aurait fondé l'école de Bracieux. (voir Bauzy).

Extrait de "Mémoires de la société historique..." Edition 1868-1945.

  "Médaille de cuivre de Georges Louis Phélypeaux d'Herbault, Archevêque de Bourges(1757). A l'avers: GEORgius LUDovicus PHELYPEAUX. pius. pontifex. ARCHiepiscopus. BITURigensis. (Georges Louis Phélypeaux, pieux pontife, archevêque de Bourges). Dans le champ, buste de l'archevêque. Au bas, les initiales du graveur de la médaille, D.V. Jean Du Vivier, graveur du roi, né à Liége (1687-1761). Au revers, la date: 1757. Dans le champ, l'écu des Phélypeaux, timbré d'une couronne ducale, surmonté de la double croix tréflée et du chapeau d'archevêque: d'azur, semé de quintefeuilles d'or, au canton d'hermine. Georges Louis Phélypeaux, né en 1729, avait été nommé archevêque de Bourges en août 1757; il mourut à Paris le 21 septembre 1787."

 

Extrait de "Mémoires de la société des sciences et..."Edition 1867.

1928 " Le frére de Louis XIII,..., dans des lettres de cachets du 20 février 1637 adressée à la chambre des comptes, il expliquait que Phélipeaux, au lieu de vendre les deux maisons "qui se rencontrent sur le lieu désigné pour faire l'entrée au bout de la basse-cour du chasteau de Blois", serait disposé à les échanger contre "lesd. domaine de fort peu de valleur"; et , en même temps, il pressait les officiers des comptes, parce que "c'est une affaire que nous affectionnons beaucoup tant à cause que l'ouvrage de lad. entrée presse que pour la beauté de la ville".

  Enfin, le 28 avril 1637, devant Claude Menard et Claude Baudouin, notaires au châtelet de Paris, fut passé, entre François de Castille, sieur de Villemareuil, surintendant des finances du duc, et Robert Passart, contrôleur général du duc, représentant Gaston d'Orléans, et Phélipeaux de Villesavin, le contrat d'échange des deux maisons en question contre les biens et droits susdits, qui interessaient Phélipeaux à raison de leur proximité de son Château de Villesavin et des domaines en dépendant. le duc d'Orléans ratifia l'échange par lettres du 2 mai 1637. Les piéces furent enregistrées au greffe du baillage de Blois le 29 mai 1637. Les lettres.....Enfin toutes les piéces furent enregistrées le 30 juillet 1637 par la chambre des comptes de Blois."

On remarque que Phélipeaux posséde les deux château de Bracieux.

1909:  "M. Trouillard communique une série de documents appartenant à M. Lavollé, propriétaire à Bracieux.
D'abord quelques titres notariés concernant l'école ou collège de Bracieux aux XVIIe et XVIIIe siècles : l'acte de fondation de l'école par Raymond Phelypeaux, seigneur d'Herbault (1629) ; plusieurs actes relatifs aux bâtiments de l'école ; un contrat de pensiondu fils d'Etienne Bouffard, marchand potier à Bracieux (1644) ; l'acte de nomination, par le seigneur d'Herbault, de Michel Lejeune, maître d'école à Paris, « pour faire école à Bracieux et instruire les enfants d'âge compétent dudit bourg et des paroisses de Bracieux, de Neuvy et de Bauzy, sans pouvoir recevoir des pères et mères aucun salaire, sauf pour leur apprendre à écrire."

1910:  "Notre bourg, disent les officiers municipaux d'Herbault , est rempli, ainsi que les lieux voisins, de malheureux qui manquent d'ouvrage." Lettre de la municipalité de Bracieux, 28 mai 1789. les routes seraient devenues impraticables.

cela fait suite au terrible hivers 1788 qui tua nombre de bestiaux, gela les étangs ce qui détruisit les poissons...peut-être une conséquence des terribles éruptions volcaniques qui eurent lieu en Islande et qui jeta dans les airs des tonnes et des tonnes de cendres.

 1901: "Le prévôt de Blois administrait la ville et la banlieue, et de plus une certaine étendue de territoire tant au sud qu'au nord de la Loire. Le reste de la châtellenie était divisé, d'après le compte de 1319, entre les prévôtés de Sologne, de Chambord, de Mer, de Beausse, de Mesland dite depuis de Basse-Beausse, des Montils, de Baines et de Saint-Dié. Cette répartition est fort ancienne, car la prévôté de Saint-Dié est mentionnée en 1184, et celle de Sologne en 1208. Guy de Châtillon y ajouta celle de Bracieux, avant 1335...."..."Inscrite entre celles de Baines et Saint-Dié en 138o et 1392. KK 3oo-301. Jean Ier avait acheté une partie de la terre de Bracieux en 1267 ; cette acquisition est complétée par Guy Ier en 1328 par suite d'une vente de Geoffroy de Galery, sire de
Bracieux..."

..." Sibille dame de Vallemar, fame jadis Mons. Jouffroy de Bracieux, chev. touchait à Paques, 12 livres, sur la terre de Bracieux, à cause de son douaire. Le 6 juillet 1329, elle reçoit 6 liv. 6 s., reste de sa pension échue au dernier terme. Ibid. 13. Ces 20 livres, en 1335, étaient sans doute dues par suite d'arriéré, et devaient figurer au chapitre des rentes viagères. Elle touchait en tout 30 livres par an."..

..."Bracieux. de l'ancien domaine du Comté de Blois, avait été aliéné par Thibaut V, en 1175, qui l'avait cédé, en échange de Châteaurenault, à Jérémie, possesseur de ce dernier fief.Il fut de nouveau uni au domaine par des achats de 1267 et 1828"...."La châtellenie de Bracieux parait avoir appartenu à cette époque à plusieurs co-propriétaires : Isabeau de Galery, qui rend aveu au mois de juillet 1315 et dut épouser en 1318 Jean Renart, écuyer, qui paye, pour le terme de la St-Jean, 80 liv. tour. de rachat pour Bracieux. Elle en était veuve en 1352 et qualifiée dame de Rilly-sur-Loire. Geoffroy de Galery
qui fait aveu de Bracieux on juillet 1315, puis en 1323 et 1324 et donne, en 1326, une quittance de la rente mentionnée ici à Jean d'Argent. Elle était assignée sur le péage de Bracieux. il aurait épousé Sibillé de Valemer, veuve dès 1329, et remariée plus tard à Habert de Fontenois, chevalier.."

Extrait de" Mémoires de la societé archéologique de l'Orléanais" Edition 1851-1950.

13 octobre 1296: Donation entre vifs faite par Raoul de Chenevrières, chanoine d'Orléans, à son neveu Pierre, de l'usufruit de toutes ses possessions de Fontaines, Courmemin et Bracieux, qui appartiendront, après la mort de Pierre, aux chapitres de Saint Croix et de Meung par moitié.

 "Jeanne, comtesse de Blois et d'Alençon donna, en 1288, à ses habitants à même temps que ceux de Candé....,de Bracieux, de Neuvy..., qu'ils fussent nobles ou roturiers, de détruire les bêtes fauves, cerf, biche, porc, laye (sanglier), chevreuil, daim, liévres, connins (lapins), ou les oiseaux sauvages qui ravageraient leurs biens, qu'ils fussent gros ou petits; elle ajoutait en outre une prérogative curieuse dans un temps où les chasseurs ne respectaient pas souvent les ppropriétés des pauvres, celle de clore les héritages et de les entourer de haies, de murs ou de palissades, s'ils ne contenaient pas plus de deux arpents."

 "Pour des motifs qui ne sont pas venus jusqu'à nous, un échange eut lieu entre Hugues l'abbé et les deux prélats de 860 à 876. Hugues, du consentement des chanoines, céda à Adalardus et à Rainon son frère, çà titre précaire (more precario), c'est à dire à titre viager et moyennant une redevance, le domaine d'Epieds avec tous ses droits et dépendances, et, en compensation de cet abandon, les deux évêques cédèrenbt, au même titre et de leurs biens propres, à l'abbé Hugues et aux chanoines résidant dans le monastère, sept menses, avec les hommes et les femmes de corps qui y étaient attachés, plus une chapelle en l'honneur de la vierge Marie, le tout sis à Bracieux, dans le territoire de Blois..."

 

 

Extrait de " Histoire de l'épidémie de choléra-morbus dans le département de Loir et Cher."  Par J. C. M. Marin-Desbrosses. Edition 1833.

en septembre 1832:.." la dyssenterie a fait quelques victimes dans la petite ville de Bracieux et dans quelques bourgs de Sologne où le choléra-morbus n'a pas paru. Dans le même temps et dans les mêmes contrées, les dindons furent frappés d'une maladie qui en fit périr quelques-un. Voici les symptômes qu'ils présentaient: dévoiement et vomissement de matières liquides blanches, inappétence, faiblesse extrème, froid et cyanose à la tête. C'est la seule épizootie qui ait régné cette année en Loir et Cher."

 

Extrait de " Catalogue des actes de François 1er" Par Marichal Paul. Edition 1887-1908.

le 3 janvier 1527: Don viager à Jean Breton d'une maison sise à Bracieux, au comté de Blois, de terres sises à Tours en Sologne et à Neuvy, lieux dits la prairie de Bourbon," l'Ambraye" et la bataille, et de droits d'usage dans la forêt de Boulogne pour l'entretien de sa maison de Villesavin. Saint germain en Laye, le 3 janvier 1526. 

 

Extrait de " Bulletin de la société archéologique et historique de l'Orléanais." Edition 1874-1948.

M. Abel Lavollée, ancien greffier demeurant à Bracieux, fait connaître qu'il a fait diverses découvertes archéologiques dans son pays. Ce sont des tuiles et des poteries rouges lustrées et avec des personnages en reliefen pâte tendre. Il se demande à quelle époque exacte remontent ces objets et il serait heureux de receoir la visite d'un des membres de al société pour lui faire voir et apprécier la collection qu'il a réunie.

 

 

Personnages:  Jabel Colas des Francs, au château de la Chevrolière, près Bracieux...à voir.

à voir: Adam de Bracieux en 1240

Assy, née de Malet de Coupigny (Mme Geoffroy d'). puis Hubert Geoffroy d'Assy ( et Mme née Valentine de Vautibault): château de la Ravinière: Bracieux.

M et Mme Raymond Bégé: château d'Herbault: Bracieux.

Bournonville (comte Henry Esmangart de, puis Pierre) [ et comtesse née Geoffroy d'Assy] château des Hayes: Bracieux.(où Fontaine en Sologne)

Lambert Champy (M. et Mme.) château de la Lande: Bracieux.

Comte Anatole de Bizemont (et Comtesse née de Drouin de Bouville): château de Villesavin.

Louis Lemaignen et Mme née Faye: château de Veillenne : Bracieux.

 

 

Histoire 1

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