Histoire

Argy, Argeium (Saint Martin dépendant de Saint Genou)

Extrait de " Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables ..." Par Gustave Chaix d'Est-Ange. Edition 1903-1929.

 Armes: d'or à cinq triangles d'azur. Couronne de Comte. Supports et cimier: trois lions. La maison d'Argy appartient à l'ancienne noblesse de la Touraine et du Berry. Elle a eu pour berceau la châtellenie de son nom, en Berry, sur les confins de la Touraine, qui relevait autrefois du comté de Buzançais. Lainé qui a donné une généalogie détaillée de la famille d'Argy dans ses archives de la noblesse en fait remonter la filiation à Archambaud, sgr d'Argy, qui en 1115 fonda au landais un couvent de religieuses. On trouve ensuite un autre Archambaud d'Argy qui est mentionné dans des chartes de 1147, 1153, 1174,1180, avec son fils également appelé Archambaud. Les premiers degrés de cette filiation ne paraissent du reste pas trés rigoureusement établis. La branche directe des sgrs d'Argy s'éteignit avec Philippe, dame d'Argy, qui se maria vers 1300 dans la maison de Brillac et qui lui apportat la châtellenie d'Argy; la famille de Brillac y fit édifier a la fin du XVème siècle un magnifique château qui existe encore. Guillaume d'Argy, oncle de cette dame, sgr de Mesvres et de Teneuil, en Touraine, est considéré comme l'auteur de la branche qui s'est perpétuée jusqu'à nos jours; on ignore le nom de sa femme, mais on lui attribue pour fils un Guillaume d'Argy dont les enfants partagèrent la succession en 1347. La filiation ne doit être considéréecomme rigoureusement établie que depuyis Pierre d'Argy, chevalier, sgr de Mesvres, mentionné dans les chartes de 1380, 1405, 1407, 1431, qui épousa par contrat du 13 mars 1426 Venotte Barbin remariée en mai 1452 à Renaud de Sorbiers. Hugues d'Argy, chevalier, fut reçu en 1547 chevalier de Saint-jean de Jerusalem. Claude d'Argy fut gentilhomme ordinaire de la chambre du RoiCharles IX. Jean d'Argy, chevalier, sieur de la Randière, en l'éléction de Châteaudun, de Rocquigny, de Néron, etc , chef de la seule branche qui se soit perpétuée jusqu'à nos jours, fut maintenu dans sa noblesse avec plusieurs de ses parents le 5 février 1669 par jugement de Voisin de la Noiraye, intendant de Tours, après avoir prouvé sa filiation depuis son bisaïeul François d'Argy vivant en 1522. Son petit-fils, Jean-Christophe d'Argy de la chatre, né en 1707, vint se fixer en Bretagne par son mariage conclu à Vannes le 19 février 1739 avec Jeanne de Coué; il en eut, outre plusieurs filles, un fils unique, René-Christophe d'Argy, né au Port-Louis en 1746, qui signa en 1788, d'après Potier de Courcy, la protestation de la noblesse de Bretagne, épousa au Mans en 1790 Anne de Négrier et émigra peu de temps après. Ce personnage qui fut connu le premier sous le titre de comte d'Argy fut père de Charles-Augustin, comte d'Argy, né en 1795, qui fut page de Napoléon Ier. La maison d'Argy a eu pour derniers représentants les trois fils de celui-ci: Charles, ancien missionnaire, décédé en 1900, Raoul, comte d'Argy, né en 1833, mort prématurément en 1866 sans laisser d'enfants de son mariage en 1859 avec Mlle de Guénifey décédée en 1899, et enfin Adalbert tué à l'ennemi en 1870 sans avoir contracté d'alliance...( il mourut en voulant sauver le comte de Mailly-Chalon, blessé et prêt à être fait prisonnier)(voir les martyrs de la France, par Jules Delmas)

 

Extrait de " Compte rendu des travaux de la société du département de l'Indre..." Edition 1862-1863.

  1115: Donation à des religieuses, par Archambaud d'Argy et par Etienne Musel, son frère, de la métairie de Fonstable, dans le bois du Landais. ( ne serait-ce pas au prieuré de sainte Marie de Rives?)

  1184: Concession à l'abbaye du Landais par Archambaud d'Argy, du consentement d'Agathe, sa femme, d'Archambaud et de Raoul, ses enfants, de tout ce qu'il possédait dans le territoire de Fossart, en moulins, terres et prés, moyennant certaines sommes payables aux différents membres de la famille dudit Archambaud, et à Barbotin, son prévôt de Lanz.

  1231: Assignation sur le moulin de la Pose (Pouze) du setier de froment qu'Elie d'Argy, chevalier, avait donné, pour le repos de l'âme de son fils, aux malades du porche de Saint-Sylvain de Levroux.

Extrait de " Mémoires de la société archéologique de Touraine." 

1864: Année 1246: Charte de Philippe, archevêque de Bourges et primat d'Aquitaine, qui certifie qu'Archambaud d'Argy, seigneur de Palluau, du consentement de Guillaume, son frère, a acquitté et abandonné à l'abbaye et aux religieux de Villeloin le droit de procuration qu'il avait deux fois âr an dans la dite abbaye.

          Année 1680: Michel, archevêque de Tours, notifie que le sieur Jean d'Argy et Pierre d'Argy, son fil, et demoiselles Charlotte, Fraançoise et Suzann-Beningue d'Argy, ses filles, ont fait abjuration de l'hérésie de Calvin et ont reçu l'absolution de l'excommunication qu'ils avaient encourue. Fait à Tours le 4 juin 1680.  

1858: Messire Charles de Brillac, seigneur chastellain d'Argy: Ce gentilhomme était fils de Pierre de Brillac, chevalier, seigneur d'Argy et de Monts, et de Anne de Tranchelion; Christophe de Brillac, son frère, fut archevêque de Tours. Il fut chevalier de l'ordre du roi et prit pour épouse Jeanne de Varie, soeur de Guillaume, deuxième du nom, seigneur de l'île Savary...

         Jacques de Betz avait épousé Madelaine de Brilhac (ou Brillac) d'Argy, fille de Pierre, seigneur de Monts en Loudunois, d'Argy en Berri, et de damoiselle Anne de Tranchelion: Madelaine était soeur de Christophe de Brilhac, archevêque de Tours de 1514 à 1520; de cette union il ne laissa qu'une fille, Renée de Betz, mariée à François de Couhé de Lusignan, seigneur de la Roche-à-Guet, Maillé, la Bussière et Chastillon.

1860: Louis de Crevant II, seigneur de Cingé, vicomte de Brigueil, marquis d'Hulières, seigneur d'Azay-le-Féron, Ozillac, Argy, chevalier des ordres du roi...(1619)

 

Extrait de " Conférences sur les anciennes abbayes et les vieux châteaux du Bas-Berry." Par Victor-Albans Fauconneau-Dufresne. Edition 1876.

   Archambaud IV, ainsi que ses frères, Raoul, Elie et Guillaume, sont mentionnés dans les actes de 1200, de 1208 de 1221 tantôt comme seigneur d'Argy, tantôt en qualité de seigneur de Palluau. A cette époque, les terres d'Argy et de Palluau étaient donc réunies dans les mains. C'est le même Archambaud qui confirme, en 1249, les donations faites par ses prédécesseurs à l'abbaye de Baugerais, dans sa terre et seigneurie d'Argy, leur accordant toutes exemption, et ne se reservant que la haute justice pour le cas de duel, adjuration, mutilation de membres, dernier supplice et rapt; qui fait aveu, en 1253, de son château d'Argy et dépendances à Jean de Prie, seigneur de Buzançais; qui est qualifié de seigneur d'Argy et de Palluau,fils de Guillaume d'Argy, dans une charte de 1260 portant fondation d'un anniversaire dans l'église du Landais. Son sceau porte un écusson burelé chargé d'une croix ancrée, et a pour légende: Archambaud d'Argé.

 Au XIVème siècle, la terre d'Argy passe dans la maison de Brillac. Dés l'an 1324, des lettres données en faveur des religieux de Baugerais, par Philippe, dame d'Argy et de Prengé (Prunget), sont scellés d'un sceau parti à trois fleurs de lis d'un côté, ce qui semble bien se rapporter aux armes de Brillac, qui sont d'azur à trois fleurs de lis d'argent. Cependant, nous voyons Guy de Brillac, chevalier, seigneur d'Argy, Prengé et chabenet, dans la confirmation qu'il fit, en 1353, des dons d'Archambaud d'Argy, son prédécesseur, à l'abbaye de Baugerais, faire encore emploi du sceau des anciens seigneurs d'Argy, qui était burelé de dix, de douze ou quatorze pièces et chargé d'une croix ancrée.

  On a vu que, déjà à la fin du siècle précédent, les fiefs d'Argy et de Prunget étaient réunis sous les mêmes seigneurs. Nous avons rapporté une charte de Raoul de Prunget, sire d'Argy, de 1288, qui en fournit la preuve. Cette possession simultanée fut continuée jusque dans le XVème siècle. Du jeudi après la fête de saint-André 1366, dénombrement est donné à messire Guy II de Chauvigny baron de Châteauroux, par messire Guiart de Brillac, écuyer pour raison du château de Prunget et dépendance. le 2. juillet 1404, Guy de Brillac, seigneur d'Argy rend pareil aveu pour Prunget; et nous trouvons encore une sentence du 25 janvier 1407, dans laquelle ce même Guiart de Brillac prend la qualité de seigneur d'Argy et de Prunget.

  Les Brillac se succèdent à Argy pendant encore près de deux siècles. Ce sont eux qui, bien qu'à diverses reprises ont fait construire le beau château que nous y admirons, et dont un vandalisme déplorable avait entrepris naguère la démolition complète. Ce château avait la forme quadrilatère, compris entre quatre tours de diverses hauteurs.Les fossés larges et profonds qui l'entouraient sont comblés , et l'aile du sud-est a été remplacée par une maison moderne. La tour de l'ouest ou le donjon est un pavillon élevé, de forme carré. Il est lié à la tour du nord, dite de Brillac, par un portique ouvert sur la cour d'honneur, et que surmonte une galerie ouverte aussi du même côté; disposition qui, jointe à la richesse d'ornementation de cette partie, rappelle le portique de Louis XII au château de Blois, ouvrage de la même époque. Les piliers sont chargés de nervures en spirale, en réseau, en losange, ou couvert d'arabesques, d'armoiries, d'attributs aussi élégantsque variés; et les chiffres des Brillac, semés à profusion sur les pleins de la façade, sont entremêlés d'hermines, dont l'arrangement symétrique se reproduit au-dessus de chacun des cintres du portique. Toute cette ordonnance, à l'exception de la galerie supérieure, se continuait en retour à l'intérieur de la cour. Il en subsiste plus, de ce côté, que deux ou trois arcades ; le reste a fait place à des constructions récentes.

  Jacques et Charles de Brillac s'étaient appliqués à embellir cette partie du château. Les initiales de leurs noms, figurés en gothique d'une belle exécution et sculptées en relief très prononcé, comme sur le portique intérieur, couvrent tout la façade du nord-est à l'extérieur, et sont jetées comme des fleurs autour des fenêtres sur les trumeaux, sur les frontons, partout. Ces mêmes lettres forment jusqu'à cinq cordons sur la tour de Brillac, que l'on dirait de loin entourée d'inscriptions à diverses hauteurs.

  Un petit oratoire était au premier étage de ce côté. Le pavé seul subsiste encore, sorte de mosaïque fort curieuse, où, parmi des arabesques entrmêlés, se font remarquer plusieurs médaillons tantôt aux armes de Brillac, avec cette légende à l'entour en caractères gothiques: Jacques de Brillac, Charles de Brillac, Loyse de Balsac, tantôt aux armes de Brillac et de Balsac réunis sur le même écusson. Louise de Balsac était femme de Charles de Brillac, et celui-ci n'existait déjà plus en 1510, ce qui fixe avant cette époque la construction de cette partie du château d'Argy.

  Le ministre d'état, Le Bouthilier-Chavigny, comte de Buzançais posséda la seigneurie d'Argy du chef de sa femme, Anne Philypeaux, et l'on voyait, il y a peu d'années, gisant au pied des murs du château, un beau bas-relief où étaient sculptées les armoiries réunies des Le Bouthillier et des Philypeaux; ce bas-relief paraissait être du XVIIème siècle.

  La terre a appartenu longtemps à la famille de la Boulaye, qui avait pour régisseur M. Béreau, de Buzançais. En 1828, elle a été achetée par M. Lamotte: elle a été vendue, en 1854, à une société belge. Le château et le parc viennent d'être acquis par M. Verdier, de Clion, qui conservera , il faut l'espérer, ces beaux restes de l'architecture du moyen-âge...

 

Extrait de " Recueil des documents concernant le poitou..." Edition 1881, 1958.

   Don de tout droit de château, châtellenie et haute justice en la seigneurie de Monts, mouvant du roi à cause de Loudun, en faveur de Pierre de Brillac, chevalier, chambellan du roi, seigneur dudit lieu.  Juillet 1481 (avant le 22).

   Loys, etc. Savoir faisons à tous presens et avenir que, pour consideracion et recongnoissance de plusieurs bons et agréables service que notre amé et feal conseiller et chambellan Pierre de Brilhac, chevalier, seigneur de Mons et d'Argé, et autres ses prouchains parens et amis nous ont faict par cy devant en plusieurs manières, font encores chascun jour et esperons que plus face cy après le temps avenir, à icellui Pierre de Brilhac, pour ces causes et considéracions et autres à ce nous mouvans, et mesmement en faveur et à la requeste de nostre cher et bien amé Charles de Brilhac, escuier, filz ainsné dudit Pierre de Brilhac, qui sur ce nous a humblement suplié et requis, avons, de nostre propre mouvement, certaine science, grace espécial, plaine puissances et auctorité royal, donné, cédé, transporté et délaissé, donnons, cédons, transportons et delaissons par ces presentes, tout droit de chastel, chatellenie et haulte justice que nous avons et qui nous peut et doit appartenir en sadite terre et seigneurie de Mons et ses appartenances et deppendances, tenu et mouvant de nous à cause de nostre seigneurie deLodun, en laquelle ledit Pierre de Brilhac avoitg et a la justice et juridiction moienne et basse seullement, pour d'icellui droit de chastel,....  Car ainsi nous plaist-il estre fait, nonobstant quelzconques ordonnances, restrictions, mandements ou deffences à ce contraires. Et afin, etc. Sauf, etc. Donné à Vendosme, ou mois de juillet , l'an de grace mil cccc. quatre vings et ung (1481), et de nostre  regne le vingtième...

 Argé: Pierre de Brillac, chevalier, seigneur de Monts en Loudunais et d'Argy en Berry, était le fils aîné de Pierre, seigneur d'Argy, et de Jeanne Odart, dame de Monts. On conserve de ce personnage qualifié alors écuyer "seigneur d'Argé et de Monts", sous la date du 19 mai 1449, trois aveux et dénombrements rendus à René duc d'Anjou, comme seigneur de Loudun: 1° pour le lieu de terre et appartenances du Bois-Follet (auj. Bafollet, paroisse de Martaizé), "qui est demoly en ruyne et en mazerils depuis le temps des autres guerres"; 2°... 

 ...Depuis le 16 mai 1461 jusqu'au 13 avril 1468, on le trouve engagé au parlement dans un long procés contre Antoine de prie, seigneur de Buzançais, ses officiers et autres complices, pour obtenir d'eux réparation des outrages et sévices dont ils s'étaient rendus coupables envers lui. Il serait peu interessant d'entrer dans la détail de cette procédure...

  ...Arrêt definitif du 13 avril 1468: Convaincu d'avoir à plusieurs reprises fait envahir par ses gens armés, conduits par son propre fils, le château d'Argy pour s'emparer de bois litigieux entre eux, d'avoir, lors de l'une de ces attaques, frappé et blessé grièvement Pierre de Brillac, à la tête, au cou et sur d'autres parties du corps, Antoine  de Prie est condamné à reporté à Argy le bois dont il s'était indûment emparé, à payer 2.000 livres tournois à sa victime, à titre de dommages et intérêt, et à deux autres mille livres d'amende au roi; ces complices étaient tenus de faire amende honorable à Pierre de Brillac, tant au palais à Paris  qu'à Argy, à genoux, tête et pieds nus, tenant à la main chacun une torche de cire allumée du poids de quatre livres, à lui demander pardon et merci et à lui payer chacun cent livres d'amende et autant au roi. De plus Pierre de Brillac était délié de toute foi et hommage envers le seigneur de Buzancais, de qui avait relevé jusque là la seigneurie d'Argy, et, soustrait lui et ses successeurs à tout juridiction que pourraient prétendre Antoine de prie et ses descendants...

   Marié à Anne de Tranchelion ,fille de Guillaume, chevalier, seigneur de Paluau, et de Guillemette des roches, Pierre de Brillac, devenu chambellan du roi , comme qualifié dans les presentes lettres, en eut trois fils; Charles, nommé plus tard, dans le présent acte, après lui seigneurt d'Argyet de Monts, ecuyer d'écurie du roi, capitaine du château de Loudun en 1490, mort à Milan en juin 1509; Christophe, qui fut abbé de Saint Père de Chartres, évêque d'Orléans , en 1504, puis archevêque de Tours, en 1515 ; Jean, chef de la deuxième branche de Brillac; et deux filles Madeleine et Marquise...

Personnages: Aldabert d'Argy: mort durant la guerre de 1870. (à voir).

                    Jacques de Brillac, seigneur d'Argy, baron de Montigny, chevalier de l'ordre du roy et gentilhomme ordinaire de sa maison, tué à l'entreprise d'Anvers en 1583.

                    Françoise de Varye épousa dans la suite Charles de Brilhac, seigneur d'Argy, grand maître de l'Hôtel du roi, un des personnages les plus considérables au temps de Charles VIII. Elle mourut en couche, jeune encore, en 1518, et fut inhumée en l'église de Brigueil...Leur fille Renée de Brilhac épousa le 15 novembre 1503 Bertrand de Reilhac, fils de Pierre de Reilhac, vicomte de Mérinville, baron de Rougemont et de Marguerite de Chabot.

                   Un certain Belge: Bernier a fait des essais de chaulage vers 1850. résultat bon et visite de personnes pour la méthode de chaulage utilisée.

                   1391: Archambaud, seigneur de Buzançais et d'Argy. fait don de la moitié de trois mollins sis à Argy (inventaire) (Bulletin de la société académique du centre:1895/01)

                    Aubépine, Jean-Baptiste, curé d'Argy, se retira à Buzançais, après avoir rétracté son serment. Mais comme tel, "il avait acquis une influence dangereuse". Au 12 mai 1794, il était reclus à Châteauroux. Probablement délivré à la chute de Robespierre, il fut de nouveau incarcéré à Châteauroux, par suite d'un mandat d'amener lancé contre lui le 8 février 1796....

                   Thomas Bobier acheta en 1510 le fief d'Argy..

Un document: argy.pdf argy.pdf

Un autre: argy-1.pdf argy-1.pdf

Encore un: argy-2.pdf argy-2.pdf

Un site: Argy.

Il va me falloir voir la famille de Brilhac où Brillac pour avoir d'autres informations.

Anecdotes.

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